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DOCUMATION 18 Mars 16h30 !

image Déchiffrons ce qui se dit sur le « sans papier », la dématé-rialisation, la communication et les technologies pour votre organisation !
 
La Transformation Numérique, tout le monde en parle et 70% des employés disent qu’elle est en cours dans leur organisation.
En réalité, que se passe-t-il dans les entreprises ?
Quelle transformation, quelles transitions sont réellement engagées ?

Nous réunissons des experts de l’association Xplor France pour répondre à ces questions au cours d’une table-ronde. Nous leur demandons de partager ce qu’ils observent dans la réalité du quotidien des entreprises afin qu’ils nous conseillent sur les chemins de la transformation.

Nous leurs demandons notamment :
– Quelles sont les réalités derrière les objectifs de ‘sans papier’ et de dématérialisation ?
– Quelles priorités dois-je considérer pour conduire mes projets de transition numérique ?
– Qu’est-ce qui change dans la communication interne ou externe avec ces nouveaux systèmes documentaires (Hub, RSE, Mooc,…) ?
–  Enfin, quelles sont les technologies de rupture que l’entreprise doit impérativement considérer et pour quelles raisons ?
 
Les intervenants Xplor sont :
Alexis BLUM
    Administrateur Xplor France – Consultant Flux documentaires et Editique
Jean-Marc JAGOU
     Président Xplor France – Consultant Organisation – Fondateur Exceo
Pascal LENOIR
      Administrateur Xplor France – Conseil – Fondateur Kalpa
François GOUVENEUR
     Administrateur Xplor France – Directeur Marketing Xerox
Jean-Louis de LA SALLE
    Administrateur Xplor France – Consultant Marketing international
Modérateur de la conférence :
Jean-Pierre BLANGER
    Administrateur Xplor France – Directeur Offres de Services Ricoh

Date et heure de conférence
     16h30 – 17h15 Salle Atelier 2

Nous vous attendrons pour répondre à vos questions.

Jean-Pierre BLANGER
Directeur des Offres de Services Ricoh France
Administrateur Xplor

Optimisation des processus métiers

image Alors que les entreprises sont à la recherche d’optimisations de toutes natures pour réduire leur coûts opérationnels, les processus métiers occupent une place prépondérante dans leur préoccupations.

L’enquête 2013 du CXP sur les usages et les pratiques des entre prises françaises et notamment sur la gestion des processus métier en France, révèle que 81% des personnes interrogées considèrent importante ou stratégique, l’amélioration des processus métiers. D’ailleurs 81% on déjà engagé une démarche d’amélioration.

Si le déclencheur principale de l’optimisation des processus métier est la refonte du Système d’Information, la démarche engagée vise d’abord l’amélioration de  la satisfaction client et ensuite seulement, la productivité de l’entreprise et la réduction des coûts.

L’étude met aussi en évidence que les activités concernées par la démarche processus sont d’abord, la Documentation, la modélisation et la cartographie des processus (85% des répondants) avant l’analyse et l’optimisation des processus.
On y apprend aussi, parmi d’autres informations, que les processus cœur de métier puis les processus support sont considérés en premier lieu.

En lisant l’étude du CXP, les D&IM pourront enfin se faire une idée des sponsors et des principales fonctionnalités des outils mis en œuvre dans la démarche processus.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-Président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

L’entreprise idéale de demain

image Deloitte et JobTeaser.com ont conduit une étude auprès de 1065 étudiants pour comprendre leur vision de l’entreprise idéale.
On découvre ainsi :
– que l’entreprise est souhaitée plutôt high-tech et internationale;
– que le poste souhaité est plutôt financier et dans un esprit d’équipe;
– que le travail souhaité est plutôt de type télétravail et très collaboratif;
– que la motivation trouve son origine plutôt dans l’évolution de carrière hiérarchique et/ou transversale sur la base d’une évaluation de compétence plutôt à 360 degrés;
– que le salaire est plutôt souhaité comme motivé par les performances et compétences.

Les D&IM savent que les grandes entreprises ne réunissent pas toujours toutes les qualités attendues par les étudiants interrogés. Pourtant, avec cette étude, ils peuvent se faire une idée de facteurs clés destinés à motiver la Gouvernance D&I auprès des nouvelles générations.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-Président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

2,5 heures par semaine consacrées au reporting

Vous avez désormais l’habitude de lire nos sujets sur « La Gouvernance de l’information et des documents » . Intéressons-nous aujourd’hui à son effet miroir : L’information de pilotage.
L’information de pilotage est souvent envisagée à travers le prisme du système d’information, c’est-à-dire sous un angle essentiellement quantitatif. Pourtant, les informations nécessaires au management opérationnel d’une organisation vont bien au-delà des données brutes. Difficile en effet d’anticiper, de décider, sans des éléments qualitatifs (états d’avancement, faits marquants, alertes, analyses, etc.) qui transitent essentiellement par l’humain.

imageUne toute récente enquête de la société Systeam, que vous trouverez ici, focalise l’attention du D&IM sur les objectifs et la méthodologie  d’un programme d’information du pilotage, les moyens pour obtenir l’info’ de pilotage, son coût et les problèmes qu’elle peut poser ; peut-on mieux faire et quelles en sont les perspectives.

L’objectif de cette enquête est d’analyser comment l’information de pilotage est produite et utilisée par les managers, dans un secteur où se côtoient nécessité d’innovation et forte pression économique : l’industrie automobile. Des résultats intéressants s’en dégagent, que les D&IM pourront découvrir en parcourant ce rapport.

Philippe BLOT-LEFEVRE
Consultant DLM (Digital Legal Management) – HUB2B
Vice Président fi-D&IM

Etes-vous un Collaborateur 2.0 ?

imageVoilà une question extrêmement intéressante pour les D&IM. Cette question posée par AASTRA, un spécialiste mondial de la téléphonie IP, est en fait prétexte à une analyse détaillée de l’usage des outils du Web 2.0 et des nouvelles pratiques et changement à mettre en œuvre pour transformer une entreprise en entreprise 2.0.

L’étude permet de se faire une idée sur la réalité de l’utilisation des outils 2.0 (Blog, Chat, Communications unifiées, Facebook, LinkedIn, RSS, ToIP, Twitter, Wiki, Youtube…) et leur mise en œuvre au sein des organisations.  Elle cherche ensuite le prescripteur de chaque technologie 2.0 puis, analyse les facteurs de motivation. Elle se termine par la mise en évidence des freins tant réels (interdits dans l’entreprise) que perçus par les utilisateurs (intérêt à l’usage de tel ou tel outil).
C’est la première étude qui permet de comprendre les comportements des entreprises et des utilisateurs face aux outils 2.0. Gageons que les D&IM en feront le meilleur usage dans leur mission de Gouvernance D&I.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

11 Gestions de projets: Web et Open Source

project_schedule Le travail de recensement réalisé par Philippe Scoffoni et publié sur son Blog est très complet et d’un intérêt certain pour les D&IM qui d’ores et déjà engagent des projets de transformation de leur organisation.

On peut découvrir les logiciels suivants:
– Gestionnaires de gestion de projets orientés informatiques:
               
Codendi, Collabtive, KForge, Redmine
– Gestionnaires d’anomalies
                Trac, Bugzilla
– Gestionnaires de gestion de projets généralistes
                ClockingIT, ProjectPier, Project HQ
– Gestionnaires de gestion de projets orientés Groupware
                eGroupware, FengOffice, dotProject, Simple Groupware & CMS
Bonnes évaluations

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

« Profiter pleinement de l’information au sein de son organisation et « oublier les contraintes »

Fedisa_ …C’était la semaine dernière à la Maison des Arts et Métiers de Paris, à l’invitation de la FEDISA.

La dématérialisation que la FEDISA regroupe dans un métier : la Dématique®, donne trois branches :
– la ‘démat’ des supports de documents,
– celle des échanges (e-mails et télétravail, …) et
–  celle des processus métiers, de le-administration qui inclut notamment les appels d’offre et monservicepublic.fr, à la facturation et la feuille de paie et enfin, épiphénomène : le chrono tachygraphe européen.

De quelque dématérialisation qu’il s’agisse, la recommandation est de ne surtout pas succomber à la tentation du calque des processus physiques existants sur ceux du tout numérique. Le D&IM y veillera car seuls les projets dont l’objet a été repensé sous ce nouvel angle, portent leurs fruits.
C’est d’autant plus important qu’en France, la dématérialisation totale n’a légalement pas cours. Il faut toujours imprimer un papier ici ou là.

Quels sont les inducteurs de la dématérialisation ?
– Les normes et la réglementation qui visent la fiabilité des échanges;
– L’archivage de gros volumes documentaires pour économiser l’entreposage immobilier;
– La valorisation du capital immatériel pour en conserver la qualité et pour préserver la compétitivité;
– La prévention des risques, notamment en archivant sur plusieurs sites numériques;
– L’optimisation des processus métiers dans un souci de rationalisation;
– Et enfin, l’accès et aisé et rapide à une somme d’informations utiles au meilleur exercice d’un métier ou d’une fonction.
A toutes ces fins, la gouvernance du D&IM s’applique au fonctionnement du mode projet avec des objectifs clairement définis et partagés, à la prise en compte de l’ensemble des cycles de vie de l’information et, à beaucoup d’accompagnement jusqu’au choix des bons outils.

Ce choix des outils a été présenté par la Société IBM Enterprise Content Management, sous la forme des plus-values suivantes:
IBM

Les solutions proposent autant de plus-values que les D&IM auront avantage à déployer dans leur organisation.

Philippe BLOT-LEFEVRE
HUB2B
Membre de l’Académie de l’IE
Consultant DLM (Digital Legal Management)