Archives de Tag: Internet

IT Design Emotionnel

Le design émotionnel fait partie des applications de la géométrie sacrée appliquée aux mondes du design et de l’informatique.
Dans une brillante interview d’Anabela RIAL, Webmaster de chez Jouve, Jean-François Preveraud explique une partie de l’essence du succès commercial en ligne, des marques APPLE et TWEETER à travers le monde.


La géométrie sacrée est en effet le moyen le plus ancien et le plus efficace de plaire à un nombre indéfini d’observateurs. Léonard de Vinci, André Le Nôtre, Haussmann et Eiffel auraient pu vous faire gagner des parts de marché s’ils avaient connu vos produits et le petit écran.

L’article s’intéresse spécifiquement au Nombre d’Or, mais nous savons à la fi-D&IM qu’il existe sept autres techniques dont certaines sont encore plus puissantes pour capter l’attention des internautes, ou pour  créer, dans leur inconscient, des liens et des jumelages de produits ou de marques tout à fait vertueux.

Philippe BLOT-LEFEVRE
Vice président de la fi-D&IM

L’économie d’internet en 2012

image L’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) fait le point de l’économie de l’internet dans son rapport: ‘OECD Internet Economy Outlook 2012’.

De nombreuses thématiques sont analysées, tels que: 
– L’expansion des réseaux,
– L’impact d’internet face à la crise,
– L’évolution du commerce en ligne,
– L’internet dans les foyers,
– L’économie des contenus numériques,
– L’internet dans le secteur de la santé,
– Les données privées et la confidentialité,
– L’internet des objets connectés,
– La contribution d’internet à l’économie et
– les priorités gouvernementales.
Très complet et parfaitement documenté, ce rapport passionnera les D&IM.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

Les Français et la dématérialisation

image L’IFOP et Generix Group ont décidé d’en savoir plus sur les pratiques de dématérialisation des français. Ils ont interrogé 1004 personnes âgées de plus de 18 ans représentatives des français sur leurs perceptions et pratiques relatives à la dématérialisation de documents personnels et professionnels.

Les résultats de cette enquête sont porteurs d’informations très utiles à tout D&IM:
– 65% estiment qu’il y a trop de papier dans leur vie quotidienne;
– 93% consultent leur compte bancaire sur internet;
– 47% payent contraventions, factures d’électricité, eau, gaz, sur internet;
– 60% et plus sont prêts à recevoir leurs factures sur internet (Téléphone, Electricité, eau, gaz, Appels de charges);
– 65% craignent de perdre les documents administratifs en ligne;
– 60% et plus, trouvent essentiellement des avantages à la dématérialisation;

En entreprise, les résultats sont tout aussi intéressants:
– 55% considèrent qu’il y a assez, voire trop, de recours à la dématérialisation;
– 60% et plus de documents restent sur support papier;
– 87% considèrent la dématérialisation comme un gain d’argent pour l’entreprise;
– 81% considèrent la dématérialisation comme un gain de temps pour l’entreprise;
– 86% des emails sont lus à l’écran et ne sont pas imprimés;
– 15% des contrats sont lus à l’écran;
– 50% et plus de rapports, compte-rendus et emails sont archivés sous forme électronique.

Les D&IM conduiront l’analyse de l’étude accessible ici, document par document, pour identifier des pistes intéressantes et faire rapidement progresser la dématérialisation des documents dans leur organisation.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Internet sur 10 ans

Vous avez témoigné un grand intérêt pour l’infographie BYOD alors avant la rentrée de septembre, nous vous proposons de découvrir l’infographie de présentation de l’évolution d’Internet entre 2002 et 2012 telle que nous la propose frenchweb: 
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Cliquez ici

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Economie sociale

En tant que D&IM, vous êtes certainement encore aujourd’hui très interrogateur pour votre entreprise sur les risques et opportunités des réseaux sociaux.

image Le mois dernier, en Juillet 2012, le McKinsey Global Institute (MGI) s’est interrogé pour vous. Dans son étude: ‘The social economy: Unlocking value & productivité through social technologies’ elle a fait le point en se demandant comment créer de la valeur avec les Technologies Sociales.
Avant de révéler quelques-unes des bonnes nouvelles de ce rapport d’étude, rappelons ce que l’on entend aujourd’hui par Technologies Sociales. Ces dernières couvrent des technologies de l’information aux noms et principes variés suivants: Réseaux sociaux, Blogs et Microblogging, Evaluateurs et comparateurs, eCommerce social, Wikis, Forums de discussions, Espace co-opératifs, Espace de crowdsourcing, Jeux sociaux et Sites de partages.
C’est en analysant le contenu de (et entre) ces différentes technologies (Social analytics) que MGI met en évidence dix façons de générer de la valeur pour l’entreprise:
1- Co-création de produits;
2- Prévoir et gérer à partir des informations sociales;
3- Exploiter les informations sociales pour optimiser les processus d’activité;
4- Tirer des enseignement des clients;
5- Utiliser les technologies sociales pour les interactions marketing et communication;
6- Générer et favoriser les contacts commerciaux;
7- Commerce social;
8- Fournir des services clients via les technologies sociales;
9- Exploiter les technologies sociales pour améliorer la collaboration et la communication inter et intra-organisation;
10- Exploiter les technologies sociales pour mettre en adéquation les talents et les activités.

image L’étude de MGI mérite que les D&IM passent du temps à son analyse pour mesurer l’écart entre la situation actuelle de leur entreprise et la situation à atteindre et à proposer à la direction générale.
1,5 milliards d’utilisateurs des technologies sociales méritent que l’entreprise s’y attarde n’est-ce pas ?
28 heures par semaine en recherche d’information, réponse à des emails et à de la collaboration interne… Ne peut imaginer que quelques-unes de ces heures soient plutôt en interaction avec les prospects et clients externes ?
Et même si MGI explique, après une analyse très fouillée et riche d’enseignement, que l’on est au tout début de la compréhension des apports des technologies sociales, gageons que pour en tirer le pleine puissance, il est urgent de s’y intéresser dès à présent pour se créer une expérience utile aux décisions stratégiques de demain.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Cloud Computing. Nouveaux modèles

Les D&IM ont pris goût aux livres blancs publiés par le Syntec Numérique et ils ont raison tant est grande, la qualité des contenus de ces synthèses.
Aujourd’hui, c’est une toute dernière publication que nous relayons ici.

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Après quelques rappels sur les typologies du Cloud, les nouveaux modèles économiques autorisés par les Cloud sont mis en évidence.
Les contraintes contractuelles nouvelles sont abordées ensuite avant de terminer par le nouveau rôle de la DSI et les normes et standards du Cloud.
Ainsi, ceux qui ne connaissent pas les nouveaux modèles en auront rapidement une vision panoramique alors que ceux qui connaissent, trouveront dans le livre blanc un aide mémoire sur l’ensemble des aspects de ces nouveaux services du Web.
image Les D&IM les plus assidus, savent qu’il s’agit du troisième livre blanc sur le sujet. Les autres se rendront sur le site du Syntec numérique et liront aussi: “Cloud Computing: ce qu’il faut savoir” et “La sécurité du Cloud Computing”.
Après tant de saines lectures, les D&IM seront incollables sur les différentes facettes techniques et règlementaire du Cloud pour en maîtriser les avantages et les risques.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Conférence ‘Nouveau Monde’

image Ouverte par M. François FILLON , Premier Ministre, et par M. Eric BESSON, Ministre chargé de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie Numérique, la CONFERENCE « NOUVEAU MONDE »  consacrait ces 5 et 6 janvier, un volet au rôle de l’Etat dans le développement de la nouvelle croissance économique.

imageQuelles valeurs pour le nouveau monde ?
 L’ « Agora totale (1) » n’est pas bonne: l’Internet et l’anarchie (sécurisée tant bien que mal) des Systèmes d’Information le démontre.

On s’émerveillait hier du « tout est visible(2) » sur Internet et un nouveau Contrat Social (3) revendique de la « transparence »(2)(4) pour le « besoin d’en connaître ». Que de contradictions !

image Chaque Nation légifère à tout va tandis que les utilisateurs se plaignent d’un manque de « règles du jeu »(4) !
Des solutions existent. Elles ont été expérimentées mais sans la pression des marchés ou des pouvoirs publics, on remet au lendemain.
L’avènement du Cloud Computing et l’effet psychologique de la crise mondiale changent la donne…

La fi-D&IM a travaillé sur ces contradictions. De l’usage des systèmes d’Information à l’usage des D&I eux-mêmes, elle propose des solutions concrètes et dimensionnées aux enjeux de chaque organisation.

Philippe BLOT-LEFEVRE
Coaching et Gestion du droit d’usage des informations

(1) Alain MINC, Consultant et chef d’entreprise
(2) Line BEAUCHAMP, Vice Premier Ministre, Ministère de l’Education, du Loisir et du Sport, QUEBEC
(3) Mo IBRAHIM, Président de la Fondation Mo HUBRAHIM
(4) Laurence PARISOT, Présidente du Mouvement des Entreprises de France (MEDEF)

60 secondes sur le Web

L’informaticien nous rapporte les représentations graphiques de ‘ce qui se passe sur le Web en 60 secondes’ tel que nous le dévoile la société Go-Gulf.com:60 Seconds - Things That Happen On Internet Every Sixty Seconds
Infographic by- Shanghai Web Designers

60 Seconds - Things That Happen Every Sixty Seconds
Infographic by- GO-Gulf.com Web Design Company

Voilà de quoi permettre à tous les D&IM de réfléchir à l’année 2012 en comprenant mieux l’influence du Web sur le quotidien de leur organisation.

Bonne année 2012

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged – Membre CLUSIF
Directeur R&D et de Offres de Services Ricoh France

Hadopi dans l’entreprise

La loi ne concerne pas que les ados en quête de musiques gratuites.
Trois photos piquées sur le web par un salarié, suffisent à interdire l’entreprise d’accéder à l’Internet !

Hadopi

HADOPI fait l’obligation à tout titulaire d’un accès à un service de communication en ligne, « de veiller à ce que cet accès ne fasse pas l’objet d’une utilisation à des fins de reproduction, de représentation, de mise à disposition ou de communication au public d’œuvres ou d’objets protégés par un droit d’auteur ou par un droit voisin ». Au terme de l’article L.331-25 du CPI, trois infractions suffisent à faire encourir l’entreprise la peine de suspension de son accès à l’Internet (L.335-7-1).

Le cas concerne ainsi, précise Maître Christophe Alleaume dans Le Journal du Management Juridique et Réglementaire N°27, P11, le téléchargement illicite d’œuvres, par trois fois répété, par un salarié sur son lieu de travail.

S’il est concevable que la gravité de l’infraction  puisse être mise en balance avec le caractère négligent ou pas, de l’employeur, le D&IM aura bien à l’esprit que l’utilisation abusive d’actifs tels les inventions, les articles de presse, les productions audiovisuelles ou de simples images piquées sur le web, fut-ce pour enjoliver un jeu de diapositives, est de nature à engager gravement et durablement le fonctionnement de l’entreprise.

Philippe BLOT-LEFEVRE
Coaching et Gestion du droit d’usage des informations

Le besoin d’architectes de l’information

image Dans une vidéo “You Tube”, Jean-Michel Salaün, chercheur au Colligium de Lyon (IEA) et professeur à l’Université de Montréal, propose une théorie du document qu’il illustre concrètement en expliquant les succès d’Apple, Google et Facebook.

Il nous livre un point de vue éclairé que nous résumons ci-après en quelques mots.
“Le document est un objet, matériel ou électronique, sur lequel est consigné de l’information… Un Record en anglais. Pour autant Forme et contenu ne suffisent pas à définir un document qui doit avoir un statut, une fonction: Transmettre et Prouver.
Roger Pédauque (un collectif de chercheurs) a proposé de représenter le document sous trois dimensions: Forme, Contenu, Medium; ce que Jean-Michel Salaün résume par trois participes passés: Le Vu, le Lu et le Su.
Vu: Le document est repérable par sa forme;
Lu: Le document doit pouvoir être compris par l’interprétation du cerveau;
Su: Le document est partagé et fait partie de la mémoire collective.
Ces trois dimensions sont inter-dépendantes et offrent une Grille d’analyse tridimensionnelle des entreprises du Web.”

Nous vous laissons consulter la vidéo pour en savoir plus.
Les D&IM ne doivent absolument pas manquer cet éclairage expert, relatif au Document, proposé par Jean-Michel Salaün.

Jean-Louis De La Salle
Consultant
Vice-Président XPlor

L’ebook a 40 ans (1971-2011)

image Un livre étonnant que celui de Marie Lebert: “l’ebook a 40 ans”.
En effet, plus de 160 pages réunissent pas moins de 60 articles qui retracent l’évolution du livre numérique des débuts de l’internet à l’iPad.

Tant sur le plan culturel que technique, les D&IM trouveront avantage à la lecture de cet ouvrage pour mieux comprendre les bonnes pratiques à mettre en œuvre dans leur organisation.

Bonne lecture !

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged et Clusif
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Droit de l’internet

image Didier Frochot et Fabrice Molinaro nous livre ce livre blanc sur le droit de l’internet (Les Infostratèges).
Par un travail documentaire détaillé et commenté, ils rappellent les lois applicables à tous les aspects de l’internet: Publication, Propriété intellectuelle, Commerce, Données personnelles, Presse, Confiance dans l’économie numérique, Identification des auteurs, Droits de réponse, Obligations de l’hébergeur, Liens hypertextes, CNIL, Noms de domaine, Liens sponsorisés,…
A lire absolument par tous les D&IM pour vérifier l’application des bonnes pratiques dans leur organisation.

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged et Clusif
Directeur R&D Ricoh

4ème Rencontre Nationale des Directeurs de l’Innovation

imageCes deux derniers jours, les 19 et 20 Avril 2011, vient de se dérouler un événement assez exceptionnel pendant lequel l’intelligence collective a été mise à l’honneur.
Marc Giget (Créateur du Club de Paris des Directeurs de l’Innovation), impressionnant d’enthousiasme, nous a conduit dans un ‘Voyage au cœur des écosystèmes d’innovation’  en passant par ‘l’Insertion dans les communautés et la société, relations aux utilisateurs’ et se terminant sur les territoires de la ‘Gestion des écosystèmes d’innovation complexes interconnectés’.

J’aurais vraiment aimé que de nombreux D&IM puissent au fil des étapes de ce voyage puiser leurs sources d’inspirations multiples pour conduire leur mission de gouvernance documentaire de d’animation de leur réseau d’excellence.
VoyageEn effet, les témoignages d’initiatives internationales ou nationales: O3B, EDF, Sanofi Pasteur, Bouygues Immobilier, BSH, P&G, PSA Novartis, mediconValley, CSEM, Eutelsat, SESIPR, eBay, PayPal, La Poste, Veolia, Ville de Barcelone, Ville de Sevran, CAP Digital,… ont été toutes été aussi révélatrices d’approches innovantes les unes que les autres.
Des sujets très variés ont ainsi été abordés dont quelques-uns très marquants: Diffusion satellitaire internet pour les pays en voie de développement, Immeuble à bilan énergétique positif, construction d’un pont entre deux pays générant la région la plus innovante d’Europe pour le secteur médical, ré-ingénierie de réalisation d’équipements de maison aux bilans énergétique les meilleurs du monde, la modélisation sociale et économique au sein de communautés internet, le changement de modèle éducatif en environnement défavorisé, la création d’évènements sociaux stabilisant les populations défavorisées,… le partage du travail de startups françaises pour générer d’autres initiatives innovantes,… 

Des sujets très disparates apparemment mais qui pourtant font apparaître deux conclusions au milieu de nombreuses autres, qui m’apparaissent se détacher et mériter d’être partagées immédiatement avec les D&IM:
La première conclusion vient de l’ensemble des présentations qui montrent que l’innovation est le moteur de l’action en rupture avec l’usage et que les chemins de l’innovation sont extrêmement diverses avec des constantes telles qu’un objectif, un esprit fédérateur communautaire, une écoute des acteurs utilisateurs et une approche technologique qui ne néglige pas les aspects économiques.
La seconde conclusion vient de Jacques Perrin, réalisateur du film OCEANS et d’autres comme Micro-Cosmos ou les Oiseaux migrateurs, qui nous dit: “Pour comprendre les poissons, il faut être au milieu des poissons” et qui explique comment une torpille ‘humaine’ a dû être imaginée et réalisée avec la Marine Nationale pour filmer au cœur des bancs de poissons comme cela n’avait jamais été fait depuis l’avènement de l’humanité.

Le caractère universel de ces conclusions permet aux D&IM de fonder la conduite de leurs missions sur les fondations de l’innovation dont leur quotidien devra s’inspirer pour convaincre au changement les directions opérationnelles et plus globalement leur organisation.

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged et Clusif
Directeur R&D Ricoh

Le D&IM a maintenant son Salon

Il donne suite au Forum des Acteurs du Numérique 2010 et se positionne comme le salon de la Gouvernance documentaire pour la gestion globale du document & de l’information. Il se nomme:image

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L’entreprise d’aujourd’hui doit maîtriser Information & Documents numériques sur la totalité de sa chaîne de valeur en s’assurant d’une gouvernance documentaire optimisée.

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Le document est le support de l’activité des organisations et sa bonne gestion passe par la mise en place d’un environnement technologique cohérent et continu de la capture à l’impression, ou la transmission à un tiers.

PME et grandes entreprises trouveront dans l’espace dédié à l’Entreprise numérique, les équipements et logiciels destinés à leur factures, contrats, bulletins de salaires, dossiers d’études,… disponibles en solutions clés en main achetables pour leur besoin propre ou encore disponibles en mode SaaS mutualisées et payables à l’usage : GEIDE, LAD/RAD, CRM, Archivage Electronique…

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Le D&IM trouvera avantage à visiter le SDN car il est intégré à un ensemble de salon orientés métiers.

Avec plus de 6000 visiteurs l’année passée sur l’ensemble de l’espace, le D&IM pourra prendre la mesure des interactions avec de nombreux interlocuteurs.

Il en tirera avantage pour échanger sur les préoccupations des métiers de l’entreprise et ne manquera pas de se renseigner sur les obligations de chacun.

Le SDN proposera aux D&IM et aux visiteurs du Salon des nombreuses conférences que nous aurons l’occasion de relater plus avant ultérieurement mais d’ores et déjà bloquer les dates du 4 au 6 octobre 2011 dans votre agenda.

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged et Clusif
Directeur R&D Ricoh

Vous avez dit BYOT ?

business_man_with_laptop_-_ Le monde de l’entreprise nous apporte un nouvel acronyme
BYOT : B
ring Your Own Technology (Tools)

que l’éminent Louis Naugès propose de traduire par
AVOP : Apportez Vos Outils Personnels.

Devant les difficultés de conservation des données et des matériels informatiques confiés au personnel, l’AVOP consiste à doter chaque collaborateur d’une allocation de l’ordre de 50€/mois (=1.800€ sur 3 ans à comparer à l’investissement-entreprise de l’ordre de 3 à 4.000€) pour qu’il acquière le matériel qui convient le mieux à sa fonction.

Selon Unisys , 32% des I-Workers interrogés sont OK pour financer totalement leur matériel, 21% acceptent de prendre la moitié des frais et autant acceptent de financer le 1/3 de la dépense.

Le D&IM aura tôt fait de rapprocher la stratégie BYOT-AVOP de celle des voitures dont on sait que, personnelles, elles sont incomparablement mieux entretenues que lorsque les véhicules de fonction, lesquels restent sur les bras de l’entreprise lorsque le collaborateur la quitte. Faites les comptes…

GSM, androïde, PC, Mac, Tablette, Ipad, SaaS, l’accès partout n’importe quand est au choix du collaborateur qui peut l’utiliser indifféremment à des fins personnelles et professionnelles. Dans la rubrique avantages-inconvénients, le D&IM dressera une liste des + et des – en tenant compte des facteurs sécurité, de droit d’usage des informations en matières de stockage et de partage, de la souplesse des horaires pour aller dans le sens du nomadisme et du travail tantôt à domicile, tantôt connecté aux SI des partenaires, etc.

Une organisation associant la confiance et la sécurité, le matériel professionnel et des outils personnels est-elle moins onéreuse et plus vertueuse pour l’entreprise ?
Oui, j’en suis convaincu pour peu que la fonction D&IM soit pleinement reconnue, respecter et active ; ce qui rejoint les 12 recommandations d’Unisys: Surveiller les employés, gérer le droit d’usage des informations en indiquant ce qui peut sortir et ce qui ne doit pas sortir, comprendre et gérer les rôles des utilisateurs, inventorier les technologies courantes, prévoir les besoins de maintenance, proposer un portail d’accès unique, intégrer la fonction e-commerce pour le règlement de certains services et produits, instituer une politique de droit d’usage des matériels et une autre pour les D&I, ainsi que des moyens de leur gestion ; mettre en place un système de consentement interindividuel,  lancer une opération pilote, simplifier et rendre le programme facile à utiliser.

Autoproclamé « Leader mondial des technologies d’information, Unisys » oublie un point crucial qui n’échappe pas à un D&IM habitué à prendre de la hauteur de vue : l’ensemble du dispositif doit être juridiquement opposable et non-répudiable par les utilisateurs. C’est l’objet du DLM dont nous parlons souvent dans les colonnes de ce blog.

Philippe BLOT-LEFEVRE
Consultant DLM (Digital Legal Management)
HUB2B