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DOCUMATION 2015 en Conférences vidéo

Documation - Arbre Cette année encore, les visiteurs de DOCUMATION ont pu visiter des nombeux stands et bénéficier de conférences fort intéressantes. Je vous propose ici une sélection de six conférences qui couvrent tous les aspects de la Transformation Numérique au coeur des préoccupations des organisations:
– Introduction sur la transformation numérique;
– Importance de la Gouvernance de l’information dans cette transformation;
– L’outil Records Management pour servir la Gouvernance de l’information;
– Les principes et règles de conservation ou pas des informations;
– La dématérialisation des processus au delà des informations et
– pour terminer avec la gestion des contenus riches pour améliorer l’expérience client.

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La richesses de ces vidéos vous poussera à les partager dans votre organisation afin que vos collègues, vos managers, vos partenanires,… soient vos meilleurs sponsors.

Jean-Pierre BLANGER
Ricoh France – Xplor – ADSG

DOCUMATION 18 Mars 16h30 !

image Déchiffrons ce qui se dit sur le « sans papier », la dématé-rialisation, la communication et les technologies pour votre organisation !
 
La Transformation Numérique, tout le monde en parle et 70% des employés disent qu’elle est en cours dans leur organisation.
En réalité, que se passe-t-il dans les entreprises ?
Quelle transformation, quelles transitions sont réellement engagées ?

Nous réunissons des experts de l’association Xplor France pour répondre à ces questions au cours d’une table-ronde. Nous leur demandons de partager ce qu’ils observent dans la réalité du quotidien des entreprises afin qu’ils nous conseillent sur les chemins de la transformation.

Nous leurs demandons notamment :
– Quelles sont les réalités derrière les objectifs de ‘sans papier’ et de dématérialisation ?
– Quelles priorités dois-je considérer pour conduire mes projets de transition numérique ?
– Qu’est-ce qui change dans la communication interne ou externe avec ces nouveaux systèmes documentaires (Hub, RSE, Mooc,…) ?
–  Enfin, quelles sont les technologies de rupture que l’entreprise doit impérativement considérer et pour quelles raisons ?
 
Les intervenants Xplor sont :
Alexis BLUM
    Administrateur Xplor France – Consultant Flux documentaires et Editique
Jean-Marc JAGOU
     Président Xplor France – Consultant Organisation – Fondateur Exceo
Pascal LENOIR
      Administrateur Xplor France – Conseil – Fondateur Kalpa
François GOUVENEUR
     Administrateur Xplor France – Directeur Marketing Xerox
Jean-Louis de LA SALLE
    Administrateur Xplor France – Consultant Marketing international
Modérateur de la conférence :
Jean-Pierre BLANGER
    Administrateur Xplor France – Directeur Offres de Services Ricoh

Date et heure de conférence
     16h30 – 17h15 Salle Atelier 2

Nous vous attendrons pour répondre à vos questions.

Jean-Pierre BLANGER
Directeur des Offres de Services Ricoh France
Administrateur Xplor

Vous n’avez pas pu venir à Documation ?

Dommage que vous n’ayez pu venir à Documation fin Mars.
C’est en France, le lieu de référence où les D&IM et leur réseau, doivent impérativement se rendre.  C’est l’endroit où ils peuvent découvrir les nouvelles propositions de valeur des conseils, éditeurs, intégrateurs, prestataires,… de tous les acteurs des D&I. Ils peuvent aussi participer à des ateliers et des conférences qui constituent des lieux de partage de connaissances sans équivalent.

Alors, ne manquez pas la prochaine édition de Documation, les 18 et 19 Mars 2015 !

En attendant, Documation TV vous propose quelques vidéos de rattrapage dont nous avons sélectionné six conférences dont vous ne pouvez manquer le visionnage:

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La gouvernance de l’information : au-delà du records management et de l’archivage

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Dématérialisation, GED et gestion de contenus

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Big Data, données personnelles, métadonnées : collecte, qualité et maîtrise de ses données

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Le rôle du coffre-fort numérique dans la gestion du cycle de vie du document

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Archivage électronique, records management et tiers de confiance

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Relation client multi canal : améliorer l’expérience client par le numérique et la mobilité

Avec cette sélection, vous constatez que l’entreprise numérique est en marche. Le D&IM est plus que jamais nécessaire pour maîtriser toutes les facettes de le transformation numérique.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-Président de la fi-D&IM – Administrateur Xplor
Directeur des Offres de Services Ricoh

Records Management Governance

L’AIIM propose ce nouveau guide fort utile aux D&IM et Records Managers.
 Il propose au lecteur sur un parcours en 12 étapes:
image– Inventaire;
– Durée de rétention;
– Organisation;
– Conformité;
– Continuité d’activité;
– Sécurité et confidentialité;
– Métadonnées;
– Opérations de gestion et informatiques;
– Conservation;
– Procédures de gestion;
– Formation;
– Pilotage;
les principales questions et bonnes pratiques à ne pas oublier pour la gouvernance des documents d’activité.

Evidemment, le livre blanc de l’AIIM ne remplace pas le support des normes ISO 15489 et ISO 30300 mais il n’en a pas l’ambition. En revanche, il constitue une excellente liste de contrôle pour les D&IM qui souhaitent s’assurer de l’alignement de leur organisation sur les bonnes pratiques de Gouvernance documentaire.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-Président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

Vade-mecum juridique de la dématérialisation

imageLa FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance – www.fntc.org) publie la 6ème édition du Vade-mecum juridique de la dématérialisation des documents sous la direction d’Eric CAPRIOLI (http://www.caprioli-avocats.com).

Dans ce dernier opus, l’accent est mis sur :
– Le développement significatif de l’utilisation des signatures électroniques fondées sur des certificats à la volée dans de nombreux secteurs pour la souscription de contrats de crédit à la consommation, d’assurances ou de mutuelles ;
– L’évolution du cadre juridique de la facture électronique ;
– Des jurisprudences concernant la prise en compte d’écrits, de copies numériques et de signatures électroniques. ;
– Les données à caractère personnel dans le cadre des services de confiance ;
– La proposition de Règlement Identification et services de confiance ;
– La prise en compte des documents douaniers dans une optique dématérialisée.

Très riche d’enseignements pour les D&IM, ce document doit faire l’objet d’une lecture attentive.

Philippe Blot-lefevre
Vice-président de la fi-D&IM

Et vous, SEPA… Ca va ?

imageMardi 24 septembre, FinYear organisait la conférence ‘Sepa Day’ pour faire le point sur l’avancement des projet de migration SEPA au sein des entreprises et faire connaître quelques solutions logicielles et prestations disponibles sur le marché français.

Rappelons que SEPA (Single Euro Payment Area – Espace unique de paiement en euros), sous l’impulsion du Conseil européen des paiement (EPC – European Payment Council), est le projet de constitution d’une gamme unique de moyens de paiement en euros. Consommateurs, entreprises, administration peuvent ainsi effectuer des paiements dans les mêmes conditions dans l’espace européen, aussi simplement que dans leur pays d’origine.
Le parlement européen, convaincu de l’importance de SEPA (plus forte encore que l’adoption de l’euro), a fixé des objectifs de migration SEPA:
1er février 2014: Virements et Prélèvements SEPA
1er février 2016: TIP et télérèglement
Or, force est de constater à l’écoute des intervenants que la migration n’est effective que dans très peu d’entreprises. A 130 jour de la première date clé, le retard est patent…

Alors, D&IM, lecteurs de ces lignes, réveillez vos directions et comités exécutifs !

L’enjeu SEPA n’est pas seulement une contrainte à satisfaire par les organisations pour être en conformité, c’est aussi et surtout un gage de compétitivité internationale qui mérite de ne pas attendre une minute de plus pour engager la migration.

Lors de cette conférences SEPA Day très réussie, les fournisseurs de logiciels et prestations présents, n’ont cessé de rappeler au cours de leur exposé qu’ils sont prêts et peuvent aider toutes les organisations à s’aligner sur les standards SEPA. A bon entendeur…

Jean-Pierre BLANGER
Vice-Président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

Règlement européen sur la protection des données personnelles – le consentement

Le projet de règlement européen sur la protection des données personnelles poursuit son processus législatif à Bruxelles.

image Dans ce document, on retrouve les principes fondamentaux qui sont déjà inscrits dans notre législation, mais aussi des principes nouveaux ou largement développés : consentement, informations à fournir aux personnes, droit à l’oubli, portabilité des données, profilage, privacy by design, notification des failles de sécurité, analyse d’impact, désignation du CIL, certification, …

Examinons en détail les articles qui traitent du consentement :
Le traitement n’est licite que si la personne concernée en a donné son consentement pour une ou plusieurs finalités spécifiques, ou s’il est nécessaire à l’exécution d’un contrat ou au respect d’une obligation légale, ou nécessaire aux intérêts légitimes du responsable de traitement, à moins que ne prévalent les intérêts ou les libertés et droits fondamentaux de la personne concernée.

image Le consentement d’une personne s’exprime par toute manifestation de volonté, libre, spécifique, informée et explicite par laquelle la personne accepte, par une déclaration ou par un acte positif univoque, que des données à caractère personnel la concernant fassent l’objet d’un traitement.

La charge de prouver que la personne concernée a consenti au traitement de ses données à caractère personnel à des fins déterminées incombe au responsable du traitement.

C’est un véritable « opt-in » qui va désormais s’appliquer aux sites de commerce en ligne, mais aussi aux réseaux sociaux ou moteurs de recherche … même s’ils sont américains !

Comme vous le voyez, ces évolutions sont importantes : elles impactent les processus administratifs et commerciaux et auront des conséquences importantes sur les systèmes d’information.

Il est donc nécessaire d’effectuer les analyses d’impact sans attendre si vous voulez être en conformité lorsque le nouveau texte sera applicable.

Philippe SICARD
Consultant expert Informatique & Libertés

Dématérialisation des marchés publics

image La Direction des Affaires Juridiques (DAJ) du Ministère de l’Economie et des fincances vient de mettre à jour son Guide pratique pour la dématérialisation en matière de marché public.

Il s’agit de contribuer auprès tant des acteurs publics que privés, à la compréhension des modalités pour conclure des marchés par voie électronique, soit par l’utilisation de la messagerie, soit par l’utilisation d’une plateforme du Web.

Le guide pratique rappelle et explique le cadre juridique, les différents modes d’interaction, les dispositifs obligatoires, les modes de négociation et d’achat, les formats de fichier,… et précise les principes des ouvertures de plis, des sauvegardes et du traitement de quelques incidents possibles.

Ce document de référence permettra aux D&IM de faire le point sur la dématérialisation des marchés publics et parce qu’il est exemplaire, servira de modèle à la réalisation de leurs documents.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur des Offres de Services Ricoh

Protection des données à caractère personnel

La France est un des premiers pays au monde (en 1978, sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing) à s’être doté d’une législation protégeant les données à caractère personnel.

Dix-sept ans après, en 1995, l’Europe a adopté une directive généralisant les principes de protection de la vie privée des citoyens, et apportant quelques innovations très intéressantes : des formalités administratives allégées au profit d’une recherche plus effective de conformité ; un transfert de charge de travail sur les entreprises, qui purent désigner en leur sein un « Correspondant Informatique & Libertés ». Cette directive fut transposée en droit français… en 2004 et 2005.

image Une nouvelle étape est aujourd’hui franchie par l’Union Européenne, avec l’examen du projet de règlement sur la protection des données personnelles.
Ce projet de règlement, qualifié d’explosif par certains, est l’aboutissement d’une logique engagée en 1995.
Il généralise le rôle du Correspondant Informatique & Libertés (il en existe déjà 10.000 en France). Il renforce les sanctions, qui deviennent réellement dissuasives.
Il se positionne sur toutes les questions d’actualité : failles de sécurité, cloud computing, droit à l’oubli, consentement préalable pour les internautes …

Attention, un règlement européen ne nécessite pas de transposition par les états membres. Il pourrait donc être applicable dès 2014.
Informaticiens, juristes, Document & Information Managers : préparez-vous !

Philippe SICARD
Consultant expert Informatique & Libertés

Maturité de l’e-Discovery et de l’e-Disclosure

Vous êtes peut-être familier de ce terme d’e-Discovery ou d’e-Disclosure. Si vous ne l’êtes pas, disons que l’e-Discovery est la capacité à retrouver la ou les informations numériques utiles, la ou les pièces (documents numériques) utiles,  pour justifier une position dans une procédure de contrôle de conformité. L’e-Disclosure est la même chose en ajoutant la capacité à produire les Documents & Informations numériques.
imageA l’évidence ces sujets sont au cœur des préoccupations des D&IM mais sont-ils aussi au cœur des préoccupations des entreprises. La société Epiq Sytems a décidé de se poser la question et a conduit une étude sur la maturité en matière d’e-Discovery auprès de plus de 1000 entreprises en France, Angleterre, Allemagne et aux USA.
Avant de d’analyser quelques pistes d’importance pour les D&IM,  pour gagner en maturité quant à l’e-Discovery, le mémo de la société Epiq Systems donne deux chiffres édifiants:
– Plus de 58% des entreprises n’auraient pas la certitude d’accéder aux documents clés avec efficacité;
– 69% des entreprises françaises n’auraient pas la certitude d’accéder aux documents clés avec efficacité.
Les directions générales des entreprises françaises trouveront donc avantage à rapidement confier une mission d’audit à leur D&IM afin qu’il propose un plan d’amélioration pour une meilleure capacité d’e-Discovery.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

La lettre recommandée dématérialisée, enfin !

image Si on pouvait envoyer une lettre recommandée en ligne depuis Mai 2004, il aura fallu attendre Mai 2012, pour que celle-ci ne soit plus nécessairement imprimée pour être remise à son destinataire tout en conservant sa valeur légale.
Avant de bénéficier de ce nouveau service de LA POSTE, il vous faudra crée uneimageCette opération vous conduira à vous identifier pour provoquer la venue de votre facteur qui vous identifiera afin de garantir l’authentification forte nécessaire à vos prochains envois et réception de lettres recommandées. La conformité au décret de février 2011 relatif à la Lettre Recommandée est ainsi assurée.
Vous devrez ensuite procéder à une inscription sur le site de la

image

Les inscriptions sont fastidieuses mais l’enjeu est d’intérêt même si vous risquez comme moi d’être un peu étonné, pour ne pas dire plus, de constater que la lettre numérique est au même prix que la lettre papier… On s’attendait à mieux…
Pourtant après quelques secondes, on pense aux investissements à couvrir pour ce nouveau service et surtout, on s’interroge sur l’avenir de notre facteur préféré. Et si son emploi était en cause à terme ?  On a pu observer les dégâts du numérique sur la presse papier. Qu’en sera-t-il de l’impact de la lettre recommandée entièrement numérique ?
On peut admettre dès lors que le prix reste inchangé d’autant que le prix n’est plus lié au poids et que l’on peut donc associer plusieurs pages et des photos à sa lettre recommandée sans payer de surcoût comme pour le papier. Gageons aussi que d’ici quelques temps, les prix chuteront pour faire face aux autres organisations qui proposent et proposeront une lettre recommandée dans des conditions identiques.

image Les D&IM tireront profit des avantages de la Lettre Recommandée numérique pour leur organisation en contactant le service client de La Poste pour une inscription personnalisée. On n’imagine pas que le succès ne soit au rendez-vous de ce nouveau service quand on sait combien le traitement des accusés de réception est pour nombre d’utilisateurs une tâche très fastidieuse. Rappelons aussi que le service est ouvert 24h/24 et 7 jours sur 7. Alors ceux qui, en urgence sont allés au cœur de Paris à la Poste du Louvre pour un pli contraint par le délai…Apprécieront.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Droit à l’usage des responsables informatiques

Si le titre de ce livre d’Isabelle Renard et Jean-Marc Rietsch chez Dunod, annonce qu’il s’adresse aux Responsables informatiques, nous pensons que son sommaire en font surtout un ouvrage destiné aux D&IM:
– RSI : de quoi êtes-vous responsables ?
am de droit
– Le patrimoine incorporel de l’entreprise
– Téléchargements illicites et loi Hadopi
– Gérer les intervenants sur le SI
– Encadrer les pratiques des salariés
– Les données personnelles
– Conservation et processus numériques
– L’impact des comptabilités informatisées sur le SI
– Comment faire face aux situations de e-discovery ?
– Le cloud computing
– Traitement assurantiel : de l’anticipation à la réparation
En effet, présentant sous forme de fiches un rappel des lois et règlements applicables aux systèmes d’information ce livre devient un guide pratique traitant des sujets clés pour les Document & Information Managers: Sous-traitance, Cloud, Mobilité, CNIL, Hadopi, Archivage électronique,…
Un Aide-mémoire à lire absolument
et… en urgence !

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Droit d’Usage, Gouvernance et Maîtrise des risques

 Logo Documation bleu   dates

Jeudi 22 Mars de 9h30 à 11h00 Salle ‘Carrefour solution du MIS’, le D&IM ne doivent pas manquer la conférence ‘Droit d’usage, Gouvernance et Maîtrise des risques’. L’animation des interventions est conduite par Philippe Blot-Lefèvre avec un propos centré sur l’usage des D&I (Documents & Informations).

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Le besoin de contrôler l’usage des documents et informations partagés avec des tiers, a donné naissance à une nouvelle architecture techno-juridique de nature à protéger les actifs numériques : c’est le DLM.
Pourquoi et comment le DLM (Digital Legal Management)  permet-il, associé au Cloud Computing, de faire exploser la puissance informationnelle et décisionnelle du BI (Business Intelligence) et de l’Intelligence Economique ?
. Info et support sont des coûts de création (≠valeur)
. La valeur est dans l’usage
. L’usage est contextuel : le bon utilisateur au bon moment au bon endroit, etc.
. Les nouveaux objectifs de la sécurité : les outils existent sont sous-exploités (10%)
.Le patrimoine c’est aussi la valeur de demain… en contexte inconnu et critique.

logo-ricoh-rouge-Web2 Jean-Pierre Blanger – RICOH France

La dématérialisation de la facture permet plus que l’économie opérationnelle. L’analyse et la consolidation des données numérique est désormais une source d’informations stratégiques pour améliorer l’offre de l’entreprise et ses performances.

Cet objectif suppose une conformité réglementaire qu’apporte l’architecture techno-juridiques du DLM.

Cognitis José Rodriguez, COGNITIS

Le groupe Cognitis, 700 personnes, intervient sur toute la chaîne décisionnelle du MDM (Master Data management) et de la Qualité des données pour le Pilotage de la Performance.

Les agrégations de données (Big Data) sont de plus en plus nombreuses et gigantesques. L’architecture répartie du Cloud Computing est facilitée et par l’approche techno-juridique ad-hoc du DLM.

Orphea Arnaud Barbotin – ORPHEA

Premier éditeur et opérateur français du D.A.M. (Digital Asset Management) ORPHEA-Studio permet à ses clients L’OREAL, Groupe BEL comme le CREDIT FONCIER DE FRANCE, d’organiser, de commercialiser et contrôler l’usage par les tiers, de leur patrimoine multimédia (photos, vidéo, pdf, etc.).

Avec l’option DLM, l’entrave que représentaient certains points de sécurité pour les processus métiers, est désormais endiguée sans risques supplémentaires.

Hub2b

Philippe Blot-Lefevre – HUB2B DLM

12 ans d’expérience du DLM (Digital Legal Management) pour faciliter les échanges documentaires, augmenter la confiance et organiser la sécurité sans qu’elle entrave les processus métier

HOLOGRAM

INDUSTRIES

Marc Pic – HOLOGRAM

Les technologies de cyber investigation* d’HOLOGRAM portent l’objectif de non-répudiation du consentement des utilisateurs en matière d’usage d’actifs immatériels. *Traçabilité des contenus immatériels pour réconcilier confidentialité et pérennisation sur le long terme.

Gras Savoye Jean-Louis Santoni – GRAS & SAVOYE

L’atteinte au patrimoine immatériel « vaporisé » dans le Cloud est-il assurable (payer une prime) et garantissable (recevoir une indemnisation) ? Réponse du 1° courtier d’assurance Français.

fidim-192 Adriana Roch – fi-D&IM

Le D&IM (Document & Information Manager) assure la maîtrise des processus documentaires entre métiers et fonctions support. Acteur de la gouvernance, professionnel de la conduite du changement, il formalise la politique D&I pour améliorer l’efficacité et protéger le patrimoine de l’entreprise.

Vous rencontrerez la fi-D&IM à cette occasion et pourrez visiter les stands de nombreux professionnels des D&I numériques.

Jean-Pierre BLANGER
Vice-président fi-D&IM
Directeur R&D et des Offres de Services Ricoh

Toujours plus de protection des données

 La Commission européenne s’engage de nouvelles propositions qu’elle soumet au parlement européen visant ainsi la publication et l’application de directives destinées à la protection des données privées.

La présentation de Viviane Reding, commissaire européenne à la Justice, fait apparaître de
nouvelles obligations:

– L’entité nationale de chaque pays de l’union européenne, en charge de la protection des données devra être renforcée et pourra infliger des amendes jusqu’à 1 million d’euros ou 5% du CA de l’entreprise;
– Toute violation grave de données personnelles au sein d’une entreprise/organisation devra être déclarée dans les plus bref délais (< 24h);
– L’accès à ses propres données devra être facilité ainsi que la destruction de celle-ci (droit à l’oubli);
– Les règles de l’union européennes devront être appliquées par tout exploitant des données hors de l’union;

Données et europe Les entreprises vont devoir nommer un responsable de la sûreté des informations qu’elles soient au format numérique ou sur papier.
Si en fonction des organisations, cette responsabilité sera confiée au CIL… au DSI au RSSI…  Certains pourront comprendre que tant l’environnement technologique et organisationnel que le risque encouru pour l’entreprise mérite que cette responsabilité puisse être portée par le D&IM.
D&IM92 Dans tous les cas, nos recommandations sont que le D&IM au sein de chaque organisation:
– s’inquiète rapidement de sensibiliser la Direction Générale à cette responsabilité renforcée;
– se mette en action pour que ces directives européennes puissent être appliquées au plus vite dans son entreprise/organisation. 

Jean-Pierre BLANGER
Directeur R&D et de Offres de Services Ricoh France

Livre blanc 2 – ISO 30300

image Michel Cottin, Président de la commission de normalisation 11 de la CG 46 – Octobre 2011 nous présente cette seconde version du Livre blanc: “Introduction à la série des normes ISO 30300, Systèmes de gestion des documents d’activité – Intégration du records management et perspectives d’évolution de l’ISO 15489” (cliquez sur l’image).

La nouvelle version du livre blanc met l’accent sur les relations renforcées entre organismes de normalisation et traite des normes de systèmes de gestion des documents d’activité, un cadre pour la gouvernance des documents d’activité:

ISO 30300: Principes et vocabulaire
ISO 30301: Exigences
ISO 30302: Guide de mise en œuvre
ISO 30303: Exigences relatives aux organismes d’audit et de certification
ISO 30304: Guide d’évaluation

Des normes publiées et à venir que les D&IM suivront de prêt à l’évidence.

Jean-Pierre BLANGER
Membre Aproged – Membre CLUSIF – Directeur R&D Ricoh France